Absurditéééééééhéhéhéhéhé (c'est à devenir fou...).
Quelques petites moment drôles :
- réponse à une demande de poste d'ATER à Paris I : je reçois une enveloppe contenant un des quatre dossiers envoyés, avec une lettre stipulant que mon dossier est irrecevable car je ne peux postuler qu'en dernière année de thèse. Sachant que les trois autres dossiers à cette même université, dans les mêmes conditions, ont été acceptés... et que mon statut de fonctionnaire de catégorie A me permet de postuler dès la première année. Appel de Paris I (attention, notez bien, ce sont EUX qui m'appellent) : "nous cherchons partout votre dossier section 22" ; "ben oui, vous me l'avez renvoyé car refusé" ; "ah, mais non ! bon on va faire des photocopies". Mouahah !
- appel à mon FAI pour régler un problème d'accès à Internet : pour le régler, le conseiller technique parvient par moult circonvolutions à me persuader de lui donner le code de mon modem téléphonique. "Mais je n'ai aucun problème de téléphone", "oui, mais au moins il n'y en aura plus" ; "mais je n'en ai aucun", "donnez-le moi tout de même". Foudroyée par cette logique, je l'ai donné, le conseiller a conclu : "voilà, comme ça il n'y aura plus de problème", "mais il n'y en avait aucun avant...". Résultat : je n'ai plus de ligne téléphonique pour les enguirlander. Mouahahahaahahah !
- au moment de révisions, visions devrais-je même dire : je récupère les notes d'un élève que je suppose validées par le professeur vu qu'elles ont été polycopiées en une bonne centaine d'exemplaires. Je vous passe les noms mal orthographiés (ce qui est dommage pour l'histoire chinoise et mongole, parce que Zhen He peut être un contemporain de Zheng He, du fait de la très petite marge de manoeuvre des noms chinois) car cette personne a fait l'effort de taper ses notes. Mais le plus beau, outre les phrases du genre on-est-super-djeun's-et-on-s'éclate ("le général Wang s'est fait eu"), ce sont ces deux moments glorieux : "les Jésuites sont autorisés par l'empereur à rester en Chine. Cela stimule leurs ailes" ou encore "la période de la vie de Gengis Khan prend fin avec sa mort". Oui, c'est magnifique. Et cela prouve que mes 4èmes auraient pu prétendre entrer en deuxième année d'université... Mouahahahaahahahahahahahahahaha !
Heureusement, la logique en chinois est imparable : cocktail se dit en effet 鸡尾酒 (jiwei jiu), à savoir l'alcool de la queue du coq. C'est-à-dire la traduction exacte de cocktail...
Je sais, j'avais dit que je n'écrirais plus jusqu'à mercredi, mais les révisions ça m'ennuie...